Une étude publiée par un groupe de réflexion américain révèle que des images satellites ont montré une hausse de l’activité ferroviaire entre la Russie et la Corée du Nord. Celle-ci pourrait être liée
Une étude du Centre pour les études stratégiques et internationales , groupe de réflexion américain, révèle que le trafic ferroviaire entre la Corée du Nord et la Russie a fortement augmenté.l’étude réalisée par la cellule Beyond Parallel du CSIS , s’appuie sur des images satellites de l’installation ferroviaire de Tumagang, en Corée du Nord, à la frontière avec la Russie.
Ces observations font suite à la rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et le leader nord-coréen Kim Jong Un, courant septembre, qui, selon Washington, aurait pu se concrétiser par un accord de ventes d’armes de la Corée du Nord à la Russie pour soutenir l’offensive russe en Ukraine.transfert d’armes entre les deux pays.
« L’augmentation spectaculaire du trafic ferroviaire indique probablement que la Corée du Nord fournit des armes et des munitions à la Russie »,l’utilisation massive de bâches pour couvrir les caisses/conteneurs d’expédition et les équipements ne permet pas d’identifier de manière concluante ce qui est observé à l’installation ferroviaire de Tumangang ».
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Journal économique et financierpar Guy Faulconbridge MOSCOU - Le président russe Vladimir Poutine n'a pas écarté jeudi l'hypothèse que la Russie procède à des essais nucléaires pour la première fois depuis plus de trois décennies, alors que Moscou pourrait se retirer complètement d'un traité historique contre ce type de tests. Au cours d'une conférence organisée à Sotchi, ville balnéaire située sur les rives de la mer Noire, le président russe a aussi annoncé que la Russie avait testé avec succès un missile de croisière à capacité nucléaire, le Burevestnik, décrivant les capacités de celui-ci comme sans égales. Il n'a pas précisé quand. S'il a estimé qu'il n'était pas nécessaire de modifier pour l'heure la doctrine nucléaire du pays, Vladimir Poutine a déclaré que toute attaque contre la Russie provoquerait une riposte immédiate avec l'envoi de centaines de missiles nucléaires à même d'anéantir n'importe quel ennemi. 'Est-il nécessaire pour nous de la modifier ? Et pourquoi ? Tout peut être changé, mais je n'en vois pas la nécessité', a-t-il dit à propos de la doctrine nucléaire, qui fixe les circonstances lors desquelles la Russie peut recourir à ses armes nucléaires. Il a ajouté que l'existence de l'Etat russe n'était pas en danger. 'Personne étant sain d'esprit et ayant une bonne mémoire n'envisagerait d'utiliser des armes nucléaires contre la Russie', a-t-il déclaré. 'J'entends des appels à procéder au test d'armes nucléaires, de reprendre les essais', a-t-il poursuivi en référence aux conseillers et observateurs à Moscou partisans d'une ligne dure face à l'Occident - selon eux, reprendre les essais nucléaires enverrait un message fort aux ennemis de la Russie. 'Je ne suis pas prêt à dire si nous avons réellement besoin de mener des essais ou non, mais il est théoriquement possible de se comporter de la même manière que les Etats-Unis', a prévenu le président russe, notant que les Etats-Unis ont signé le traité d'interdiction des essais nucléaires de 1996 mais sans le ratifier, au contraire d
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Journal économique et financierMOSCOU - La Russie a signalé vendredi qu'elle s'apprêtait à révoquer la ratification du traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE), après que le président russe Vladimir Poutine a évoqué la possibilité de reprendre les essais de ce type. Viatcheslav Volodine, le président de la chambre basse du Parlement russe, a annoncé que la question de la révocation du traité serait 'certainement' examinée lors de la prochaine réunion du conseil de la Douma d'État. Jeudi, au cours d'une conférence organisée à Sotchi, Vladimir Poutine a déclaré que la Russie devrait envisager de revenir sur la ratification du TICE, car les États-Unis, pourtant signataires, n'ont jamais ratifié le traité. Le chef du Kremlin a estimé que la doctrine nucléaire russe n'avait pas besoin d'être mise à jour mais a indiqué qu'il n'était pas encore prêt à dire si la Russie avait besoin de reprendre ses essais nucléaires. Une reprise des essais nucléaires par la Russie ou les États-Unis marquerait une nouvelle étape alors que les tensions entre les deux pays atteignent leur point culminant depuis la crise des missiles de Cuba en 1962. 'La situation dans le monde a changé', a déclaré Viatcheslav Volodine. 'Washington et Bruxelles ont déclenché une guerre contre notre pays'. Les propos de Vladimir Poutine et Viatcheslav Volodine indiquent que la Russie est presque certaine de revenir sur la ratification du traité, qui interdit les explosions nucléaires par tout le monde et en tout lieu. La Russie, qui a hérité des armes nucléaires de l'Union soviétique, possède le plus grand nombre d'ogives nucléaires au monde. Au cours des cinq décennies qui se sont écoulées entre 1945 et le traité d'interdiction complète des essais nucléaires de 1996, plus de 2.000 essais nucléaires ont été effectués, dont 1.032 par les États-Unis et 715 par l'Union soviétique, selon les Nations unies. L'Union soviétique a effectué son dernier essai en 1990 et les États-Unis en 1992. (Reportage Guy Faulconbridge ; version
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Journal économique et financierISTANBUL - Les forces de sécurité turques ont attaqué des combattants kurdes dans le nord de la Syrie et l'est de la Turquie vendredi, alors que le conflit s'intensifie près d'une semaine après un attentat à la bombe à Ankara. L'armée a 'neutralisé' 26 militants kurdes dans le nord de la Syrie au cours de la nuit, en représailles à une attaque à la roquette contre une base turque, a déclaré le ministère de la Défense. Ankara utilise généralement le terme 'neutraliser' pour signifier tuer. L'opération des forces turques a été déclenchée en représaille à une attaque à la roquette jeudi soir contre leur base de Dabiq, dans le nord-ouest de la Syrie, par la milice kurde syrienne YPG. La Turquie a également mené des frappes aériennes et détruit 30 cibles combattantes ailleurs dans le nord de la Syrie, dont un puits de pétrole, une installation de stockage et des abris, a déclaré le ministère de la Défense. 'Comme cela a été fait en Irak, toutes les capacités et les sources de revenus développées par l'organisation terroriste en Syrie continueront d'être détruites de manière systématique', a déclaré le ministère turc des Affaires étrangères dans un communiqué. En Turquie, deux militants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont été 'neutralisés' dans la province orientale d'Agri au cours d'une opération terrestre soutenue par des drones et des hélicoptères de combat, a déclaré le ministre de l'Intérieur Ali Yerlikaya dans un communiqué. Il a ajouté que la police antiterroriste avait arrêté 75 personnes soupçonnées d'avoir des liens avec le PKK lors d'une opération menée dans 11 provinces. Par ailleurs, à la suite de la destruction d'un drone turc par les forces américaines dans le nord de la Syrie jeudi, la Turquie a confirmé l'incident sans pour autant désigner un responsable, indiquant ainsi qu'elle pourrait vouloir contenir les tensions avec son allié de l'Otan. (Reportage Daren Butler, Tuvan Gumrukcu et Huseyin Hayatsever, Augustin Turpin pour la version frança
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