«Je préfère être accusé d'antisémitisme que de viol», lâche Freeze Corleone dans sa dernière chanson. Il participe à la construction d’une «contre-société» avec des «contre-valeurs», dénonce le responsable des formations au mémorial de la Shoah.
JACQUES DEMARTHON / AFP- «Je préfère être accusé d'antisémitisme que de viol», lâche le rappeur dans sa dernière chanson. Il participe à la construction d’une «contre-société» avec des «contre-valeurs», dénonce le responsable des formations au mémorial de la Shoah.est de nouveau au cœur d’une controverse.
Professeur agrégé d’histoire, Iannis Roder est le directeur de l'Observatoire de l'éducation à la Fondation Jean Jaurès et le responsable des formations au mémorial de la Shoah. LE FIGARO. - Freeze Corleone est un rappeur très populaire chez les jeunes. Réalise-t-il l'impact de ses propos ?Freeze Corleone sait exactement ce qu'il fait, lorsqu'il banalise l'antisémitisme, il sait très bien qu'il a une clientèle. En flattant l'idée que les juifs détiennent les pouvoirs financiers…
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