L’État-major des armées a annoncé mardi 1er août que l’évacuation des militaires français au Niger n’était pas à l’ordre du jour, quelques jours après le putsch militaire. Pour l’heure, l’opération d’évacuation des civils français se poursuit.
, a renversé le président élu Mohamed Bazoum la semaine dernière. Le général Tiani a justifié ce putsch pardans un pays miné par la violence de groupes djihadistes.se sont ensuite réunis dimanche devant l’ambassade de France à Niamey, brandissant des slogans violents et tentant de pénétrer dans l’enceinte du bâtiment. Ils avaient dû être dispersés par des grenades lacrymogènes.
La France, ex-puissance coloniale dans la région et soutien indéfectible du président Bazoum, apparaît comme la cible privilégiée des militaires qui l’ont renversé.L’État-major français des armées a assuré que cette opération d’évacuation avait été motivée par les événements survenus dimanche à Niamey.
« Compte tenu de l’accroissement des tensions à Niamey et celles de dimanche, l’objectif est de faciliter le retour des ressortissants français, leurs ayants droit et les Européens alors qu’ils ne peuvent pas le faire par leurs propres moyens, l’espace aérien étant fermé depuis la semaine dernière »Il a enfin indiqué que cette opération se déroulait en coopération avec les Nigériens, sans préciser s’il s’agissait des...
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